Bovins de boucherie Les vaches bien finies se font plus rares
Les disponibilités ont été plus importantes au cours de cette semaine, mais la qualité de finition des animaux a tendance à se dégrader étant donné la sécheresse et le coût des aliments. Les abatteurs peinent à couvrir leurs besoins dans les bonnes vaches.
Vous devez vous inscrire pour consulter librement tous les articles.
Dans les allaitantes, les besoins des industriels pour la rentrée conduisent à une légère détente commerciale dans les charolaises, mais les tarifs n’évoluent pas. À Saint-Christophe-en-Brionnais ou Cholet, les bonnes vaches charolaises U se vendent entre 5,30 et 5,45 €. Les R= partent entre 5,15 et 5,20 € de moyenne.
En réformes laitières, les prix des femelles suffisamment finies se maintiennent. Un tri plus sévère est pratiqué dans les lots de vaches P, compte tenu du nombre croissant d’animaux légers et en manque de finition. Les bonnes prim’holsteins lourdes conservent des tarifs compris entre 4,75 et 4,85 €.
Du côté des vaches P=, les cours varient beaucoup en fonction du poids. Les réformes lourdes se tiennent encore autour de 4,75 €, mais les plus communes voient leurs prix se tasser à 4,50 €. Les cours des vaches P–1 tombent à 3,50 €.
Pour accéder à l'ensembles nos offres :